Couverture de La ville du vingtième siècle,   par Secchi (Bernardo)
Secchi (Bernardo)
La ville du vingtième siècle
Traduit de l’italien par Anne Grillet-Aubert
ISBN 978-2-86222-064-2/123 x 180/248 p.   22 €
2009

Disponible en édition numérique

 

La ville du vingtième siècle n’est pas l’ouvrage d’un historien. «Ce n’est pas non plus un ouvrage de vulgarisation, mais l’exposition de plusieurs hypothèses qui ont mûri en observant les archives de faits et de récits dont l’ampleur est celle que permet une expérience personnelle.»
Ces hypothèses, représentations intellectuelles du fait urbain, structurent l’ouvrage. Trois récits fournissent à l’auteur des clefs de lecture de la ville du XXe siècle, de ses périodisations et des principaux projets qui l’ont concerné.
Le premier porte sur l’expansion et la dissolution de la ville, histoire d’une peur et d’une attente de la disparition du fait urbain dans l’urbanisation totale du territoire.
Le second concerne la fin de la ville moderne et avec elle l’idée que la construction de la ville puisse faire partie d’un plus vaste projet d’édification d’une nouvelle société, ou même d’un «homme nouveau».
Le troisième est celui des aspects matériels du Welfare, c’est-à-dire « d’une recherche patiente des dimensions physiques et concrètes du bien-être individuel et collectif ».
Suivent trois chapitres thématiques, illustrés par des exemples dont chacun éclaire les intentions de l’auteur – Les Hauts de Rouen, Milton Keynes et NWMA.
Ces projets de transformation ou de création de grands territoires tiennent lieu de contrepoint à une réflexion plus vaste sur la ville du XXe siècle.


Thèmes : Architecture, Urbanisme, Histoire des villes




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